Nimura et Negumi Yuki

L'administratrice Lily Roverandom a donné son accord pour que l'on poste une fiche pour deux...

Cartes d'identités

~~~~Photos~~~~ Nimura et Negumi Yuki Avniidg8

Negumi~~~~Prénoms~~~~Nimura
Yuki~~~~~Noms~~~~~Yuki
13 ans~~~~~Ages~~~~~13 ans

Synnefo~~~~Société~~~~Synnefo
Tueur à gages~~~~~Rang~~~~~Tueur à gages
Personnelle, basée sur le jeu~~~Formation~~~Personnelle, basée sur le jeu

Equipements

Armes :

Une mitraillette
Nimura et Negumi Yuki Mitraillettenc2

Deux faucilles
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Une hache

Deux pistolets deux coups
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Autres :

-Un ours en peluche contenant une bombe fumigène.
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-Une maison de poupée contenant des produits de soin.
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-Un téléphone pour enfant qui fonctionne réellement et permettant le changement de voix.
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Une voiture téléguidée longue distance dans laquelle se cache une caméra avec mode infrarouge. La manette a un écran permettant de voir ce qu'il y a devant le jouet.
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Quelques balles d'enfants un peu plus grosses que des balles de tennis, renfermant chacune du gaz somnifère.
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Des souris à remontoir. Celles-ci explosent cinq secondes plus tard.
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Physiques

Les jumeaux ont été semblables en tout point jusqu'il y a quelques années. Ils sont d'une taille normales pour leur âge. Leur trait important est le fait qu'ils soient albinos. Cela aurait-il joué un rôle dans leur vie ou dans les événements qu'ils ont subis? Je ne pense pas, car, comparé à d'autres albinos, leur peau est suffisamment rosé pour passer inapercu. Cependant leurs cheveux sont bel et bien blancs; et leur yeux ont pris une légère teinte rouge, ce qui, avec le bleu qui devait initialement s'y trouver à donner une couleur mauve sombres...
Leur ossature est encore frêle et les muscles peu dessiné mais cela n'enlève rien à leur force relative pour leur âge.
Leur atout physiques sont plutôt la fougue et l'audace. Ainsi que leur agilité et leur force. Enfin, n'oublions pas leur petite taille comparé à des adultes qui leur permet de passer par n'importe quel recoin.

Leur visage est assez rond et leur menton fini en pointe légèrement arrondie. Leurs yeux sont assez grands et prennent une majeure partie de leur visage. Leurs nez et leurs bouche semble discrets à leurs côtés.
La seule réelle différence qui les sépare, en apparence est leur coiffure. Cependant, il faut savoir que ce que porte Negumi est une perruque... Ils ont en fait tout les deux la coiffure de Nimura! Vous comprendrez plus tard pourquoi cet artifice...

Et donc, leur véritable différence est simplement le fait qu'il soit un garçon et qu'elle soit une fille... Ce qui n'est visible que depuis qu'un début de poitrine apparaît chez Negumi... Mais sous leur uniforme ample d'écolier roumain, la différence ne sera réellement visible à tous qu'à un age encore un peu plus avancé...

Caractères

Bonjour à tous, je me nomme Vassili, je suis la directrice d’un petit orphelinat en Roumanie, dans les Carpates pour être précise. Dans ce petit coin de bonheur, de triste années s’était abattus dans nos contrées, la politique était devenu dictature et cela rendait la vie plus difficile qu’elle ne l’était déjà. A vrai dire, je ne devrais pas vraiment m’en plaindre, mon orphelinat marchait à merveille mais j’aimais ces enfants comme si j’étais leur mère et les voir aussi triste d’être abandonné me rendait bien plus malheureuse que si mon orphelinat était vide.

L’abolition de l’avortement avait donc aidé mon orphelinat à s’agrandir, beaucoup de nos résidents avaient été abandonnés par leur parents vers l’âge de 4 ans ou plus, d’autre étaient abandonnés dès leur naissance. Parmi eux, je retiens ce petit couple de jumeaux que l’on m’a un matin apporté à ma porte. C’était la sage-femme de l’hôpital, le regard abattu, elle m’avait tendu ces deux enfants… Aucun mot n’était échangé, c’était ainsi que nous procédions. Ces enfants, nous leur avions donné un nom tout simple, ceux des contes de fées, Hanzel et Grentel, prénoms qu’ils n’utiliseront jamais quand un de nos pensionnaires leur apprit deux mots japonais. Ils ont grandits à nos côtés et ils étaient de vrais rayons de soleil pour les enfants les plus malheureux de notre institut, toujours prèt à aider, à sourire, à rire, ils étaient unis comme les doigts de la main. Toujours souriant, ils respiraient la joie de vivre, ils étaient si chaleureux, à chaque instant de leur vie. Tous semblait s’illuminer autour d’eux, malgré les journées d’exploitation qu’on leur faisait subir, que la politique leur faisait subir, la police, les forces armées, malgré tous ça, ils revenait avec un magnifique sourire, tout deux respiraient l’amour et le bonheur. Ils étaient aimés de tous et ils aimaient tout le monde.

Ma joie fut grande quand le dictateur fut assassiné, mais ma tristesse me rattrapa bien vite quand on m’enleva ces deux enfants. De toute ma vie, je n’ai jamais vu d’enfants aussi chaleureux, aussi doux et tendres…

Enchanté... Je me présente à mon tour; Je m'appelle Anthonio. Je suis directeur d'un Orphelinat Sicilien. Vous devez assez bien nous connaître puisque nous sommes l'un de ceux que vous avez contacté pour faire "disparaître" les Orphelin du Dictateur... Nous avons, évidemment, accepté puisqu'il ne s'agissait pas là de notre premier acte illégal, ma foi... Nos "Orphelins" étaient aussi une source de revenus bien moins légal que la maigre pension que l'on recevait de l'état...

Et c'est dans cette activité cinéphile que nous avons faire vu apparaître une denrée rare qu'étaient ces deux gamins. C'est donc Hanzel et Gretel qu'ils se nomment... Nous avons cherché à les connaître mais à part ces deux surnoms stupides, ils ne voulaient rien dire... Nous avons du les baptisé de leur numéro de chambre... 11 et 12. Mais 11 et 12 étaient des personnes rares, très rares... Au lieu d'être du simple bétail pour nos films amateurs vendus dans un marché auxiliaire, ils ont été nos nouveaux acteurs. Nous avons révolutionné le genre de la "maltraitance" d'enfant...
Au lieu de simplement recevoir des fessés ou encore des corrections à la ceinture, ils ont commencer à en donner aux autres gosses devant les caméras. Nous avons d'abord rit, je l'avoue... Mais nous avons vite compris la richesse que cela nous amènerait... Les premiers films où des enfants battent des enfants, c'est nous... C'est 11 et 12...

Et plus on les filmait, plus ils gagnait en intensité et en force... Tandis que l'adulte "corrigeait" les gosses, ceux-là les tuait littéralement... J'ai souvent pensé à les arrêté, mais quand je voyait la lueur dans leurs yeux inexpressif, j'ai vite compris qu'ils aimaient ca... Et pour la première fois, j'ai fait plaisir à ma marchandise en les laissant faire... Et puis, je l'avoue maintenant, leur cruauté me faisait peur... Ils ont vite laissé tomber le meurtre simple pour observer la réaction du corps et de l'esprit dans telle ou telle situation... Ca m'a fait peur, très peur... J'avais devant moi deux monstres de cruauté.

Ma joie fut grande quand quelqu'un vint me les acheter, mais ma tristesse me rattrappa bien vite quand il ne paya pas le prix demandé. De toute ma vie, je n'ai jamais vu d'enfants aussi malheureux, aussi cruels et sadiques...

De toute façon, je vois pas pourquoi j'aurait payé ce fichu prix vu l’argent qu’il amassait sur le dos de ces génies ! Oups, j’ai encore oublié de me présenter hein ? Et bien, pour ceux qui m’ont connu, je me nommait Yukikoshide, j’étais un maître d’arme dans le clan Synnefo, un petit rigolo que tout le monde trouvait bizarre, mais avouez que sans moi, ces perles rares…Vous ne les auriez jamais vu, ni même entendu.
J’étais en voyage de vacance, ben quoi ? Même les gars comme nous on besoin de vacances, je voulais me payer un peu de bon temps et j’ai donc louer cette drôle de vidéo histoire de… Me marrer un coup, oh oui ! je me suis bien marré ! J’en ai rit toute la nuit, voir ses deux gamins mettre en pièce leurs camarades, voir leurs sourires, ces gosses, ils aimaient ça ! Et moi aussi…

J’ai loué d’autres vidéos, plus je les regardais, plus il me les fallait ! A tout prix, il fallait que je les trouve ! Que ce trésor soit à moi ! J’ai donc changé de plan, de vacance je suis passé à recherche et je les ai trouvés. Je me suis ramené dans cet orphelinat sicilien et j’ai demandé à voir ces deux gamins. J’ai entendu leurs rires au loin, je me suis retourné, ils étaient si souriants, je l’étais aussi, j’avais sous mes yeux des anges tombés du ciel ! Ils avaient l’air d’anges, jamais on aurait pu croire que c’était eux les héros de toutes ces vidéos que j’ai observé.

Je me suis tourné vers le type, il m’a dit le prix et j’ai rigolé, je voulais voir quelque chose… J’ai sortit mon colt, vieil ami à moi, j’ai explosé la cervelle de ce type et je me suis tourné vers ces deux gosses. Aucun d’eux ne semblait avoir peur, au contraire, ils semblaient sûr d’eux…Ils ont longuement fixé les taches de sang sur le mur comme si le sang les fascinait et nous sommes partis en courant, ils riaient, je riais, nous nous amusions bien. Arrivés chez moi, à Ataxia, je ne les ai pas tout de suite présenté au clan, je voulais les avoir pour moi, je les éduqué, je leur ai apprit à lire, les math, l'analyse, le jeu, tout les amusait, tout ! Ils apprenaient comme un ogre avalerait des tonnes et des tonnes de nourriture, tout semblait si simple et à porté de leur main. Ils ont tout assimilé…Mais je m’attendais pas à la suite de l’histoire. Pas du tout…

Aujourd’hui, vous pouvez me nommer Frankenstein, ils m’ont demandé des armes comme des enfants demandant un nouveau jouet, je les leur ai donné malgré les objections du clan. Rien à foutre! Je fais ce que je veux, ils ont voulu une cible, ils l’ont eut…Je les suivais, je voulais les voir à l’œuvre, je voulais observer ce que j’avais créé… J’étais un messager de Dieu, une seconde image de Dieu, je venais de créer de nouveaux anges ! Des anges au visages d’ange… Le temps, cependant, était long et ma curiosité m’obligea à aller voir ce qu’ils faisaient, ces deux là.

J’ai sentit mon estomac se retourner littéralement et croyez moi, la nourriture que j’avais englouti il y a peu ressortit tout aussi vite. Ces deux enfants venaient d’enfoncer des tonnes de clous dans la tête de leur cible. La gamine, que j’avais prénommé Negumi en dépit du fait qu’ils ne donnaient pas leur nom, expliquait à son frère que si l’homme bougeait encore alors qu’ils ne respiraient plus, c’était à cause du réflexe vertébrale…Bon sang ! Ils aimaient aussi la science ! Malgré tout, j’ai eu la frousse de ma vie quand ces deux anges m’ont proposé de jouer avec eux. Je senti ma vie filer entre mes doigts, j’étais encore conscient quand j’ai remarqué ce changement…Chacun était l’autre et l’autre était chacun, ces êtres étaient devenu des dieux à mes yeux et je filais dans leur paradis…
Vous comprenez ce que je vous explique? Ils avaient déjà l'habitude de s'échanger les vêtement et la perruque, en changeant leur voix... Mais, apparemment, ce n'était pas un jeu... Ce que je n'avais pas vu, c'est que Negumi avait une double personnalité! Cette double personnalité n'était autre que Nimura... Et Nimura avait lui aussi une double personnalité, qui était Negumi...
Dans chacun des corps se trouvait les deux jumeaux...

Ma joie fut grande quand j’eut la chance de remarquer cette facette d’eux mais ma tristesse me rattrapa bien vite quand la mort m’arracha de mes deux anges. De toute ma vie, je n’ai jamais vu d’enfant aussi chaleureux, aussi doux, aussi tendre; aussi malheureux, aussi cruels, aussi sadiques; aussi intelligents… De toute ma vie, je n’ai jamais vu d’enfant aussi fabuleux que Negumi et Nimura…

Histoire

Dis, Nii-sama, tu arrive à te souvenir de ta naissance toi ? Quand j’essaie d’y repenser, ça me fait très mal et j’en suis pas capable. Tu crois qu’on nous a fait du mal ? Cet instant est pourtant le plus important, c’est le début de notre amour Nii-sama. Je me souviens des instants passé où je te regardais dormir ou alors tu ne dormait pas, et je me demandais qui de nous deux étaient arrivé le premier. Tu crois que ça à de l’importance ? Ce détail ?
J’ai parfois rêver d’être encore dans le ventre de la femme qui nous à porter, c’est dommage qu’on ne se souvienne pas de son visage, elle devait être belle…Comme toi Nii-sama…Tu sais, dans mon rêve, ça paraît agréable d’être près de toi endormie, flottant dans l’eau, bien au chaud. On n’y peux rien, hein…Nii-sama.

Est-ce qu’elle est morte quand on est arrivé ? Je me demande, si on a put la regarder, de nos petits yeux et la toucher de nos petites mains. Je me demande si elle nous a souris…Tu crois qu’elle était heureuse Nii-sama ? A l’orphelinat on nous disait tout le temps qu’on était des rejetés de la société, des enfants qu’on ne voulait pas aimer, mais nous on s’aime Nii-sama. Est-ce qu’elle nous a aimer ? Aimer au point de nous abandonné dans ses rues.
Je me demande parfois comme ça se serait passer si elle nous avait garder…Et notre géniteur, il était près d’elle ? Quel sensation ça fait d’abandonner des bébés qui pleure ? Moi, je pourrai jamais t’abandonner Nii-sama…Jamais, jamais…

Tu sais, Nee-sama, quand j’essaie d’y repenser, c’est plutôt sombre. Le moment où nous sommes nés, le moment où notre vie et notre amour ont vu le jour, ce fut le moment le plus important de ma vie et je n’arrive pas vraiment à m’en souvenir, comme si tout cela est flou. Ca me fait peur, ca me fait mal d'avoir oublié. Mais tu es là, Nee-sama et toi, je ne t'oublierai pas, Nee-sama.
Quand tu réfléchissais en pensant que je dormais, j’aimais sentir ton regard sur moi, peu importe qui de nous deux est arrivé le premier…On est ensemble non ? Je ne crois pas que c'est important de savoir qui fut le premier. Tu es l'ainée, je suis l'ainé... Je te protège, tu me protèges... Nee-sama...
Dans mes rêves à moi, je sens que tout est froid après la douce chaleur d’un liquide m’enveloppant mais dans mes rêve à moi, le visage de la femme qui nous a amenés à la vie a les mêmes yeux et les longs cheveux que tu portais. Elle est jolie, très très jolie, comme toi…Nee-sama. Si on s’en souvient pas…C’est parce qu’on y peut rien…Nee-sama.

On nous a pas beaucoup raconté sur elle mais je me souviens que le premier souvenir de visage que j’ai, c’est le tien. Je me souviens de tes petites mains et de ton sourire, de mon sourire... Nous, on est heureux, Nee-sama… Si l’orphelinat nous racontait tellement de méchantes choses, c’est parce qu’on était méchants… Tu crois ? Je n'en suis pas sûr. La vie était difficile là où on est nés, cette femme a été obligée de nous abandonner. Comme nous, elle n’y pouvait rien je crois; comme nous, elle n'avait qu'un choix pour survivre.
Elle ne nous a pas gardés et c’est peut-être mieux ainsi,non? On s’ennuierait sinon... Moi je m’amuse avec toi, Nee-sama. L’odeur du sang, elle a dû le sentir à notre naissance, car c’est la première fois que nous, on la respiré, non?
Et lui, son amant... L'aimait-il? Nous aimait-il? Est-ce important? Moi, je m’en fiche. Moi, je suis avec toi… On sera ensemble toujours... Hein, Nee-sama?

Et tu te rappelles, la joie, Nee-sama? Le premier bonheur qu'on a observé... Depuis l'Orphelinat, dans notre pays... Cette joie des hommes dans la ville, à la télé... Ils avaient l'air heureux, non? Je crois que c'est quand le chef était mort qu'ils étaient comme ca... Tu crois qu'on est comme eux, maintenant? Nous aussi, on rigole dans le feu et le sang? Nous aussi, on sourit quand quelqu'un meurt?
Moi, je me souviens, ca nous avait fait peur, hein, Nee-sama!? Les cris, les explosions, la joie... on s'étaient recroquevillés dans nos chambres, en pleurant... Mais maintenant, moi, je comprends... toi aussi, Nee-sama?

Mais on avait peur de ce qui nous arriverait... Quand j'y repense maintenant, c'était bête. On avait pas l'âge de penser à ca... On perdait notre temps au lieu de s'amuser. Heureusement qu'on se rattrape maintenant, hein... Moi, j'ai compris qu'on devait avoir peur quand les gens nous ont regardé sans savoir quoi faire de nous, après... Ils avaient tué le chef, mais ne savait pas quoi décider après... On en a bien rit, hein, Nee-sama..?

Les gens sont si étrange, ils étaient heureux parce qu’un homme était mort. Oui, au Carpate, les gens étaient heureux, c’était un dictateur qui était mort? On est pas comme eux, nous, on s’amuse, eux, ils étaient heureux d’un geste qu’un inconnu avait fait, un meurtrier avec assassiner le dictateur et nous, nous nous retrouvions vraiment…Orphelin…Nous on sourit, parce que c’est nous…Qui enlevons la vie…Nii-sama. C’est ça qui est amusant Nii-sama. Etre au première loge…
C’est vrai, quand on avait regarder à la télé de l’orphelinat nous nous étions unis l’un dans les bras de l’autre, dans nos chambres nous étions monter, en pleure. On n’y pouvait rien Nii-sama…Mais on comprend maintenant…Moi je comprend que si nous sommes ensemble aujourd’hui, c’est parce cet homme qui avait été tuer avait abolit l’avortement, interdit à notre maman de nous tuer avant même qu’on puisse se voir tout les deux. Moi je comprend que cet homme, c’est quand même grâce à lui si nous étions ensemble. En fait, c’est quand il est mort qu’on est devenu de vrai orphelin?

Je me souviens de ce jour où la directrice de l’orphelinat des Carpates est venus nous voir, elle avait ce sourire hypocrite qu’elle avait toujours pour nous annoncer en douceur une mauvaise nouvelle. C’était tellement amusant de la voir ainsi, oui, on en a tellement rit. Mais j’avais peur aussi dans le fond, et si il nous avait séparé ce jour là ? Qu’est-ce qu’on aurait fait…
Le sourire hypocrite de la directrice sait décrispé le temps de nous explique qu’elle ne savait pas ce qu’elle allait faire de nous…Qu’est-ce qu’on va faire…Nii-sama?

J’avais serrer ta main dans la mienne ce soir là, je l’avais serrer dans les miennes, j’avais peur qu’on nous sépare quand elle est sortie de notre chambre. Et toi…Tu avais peur? On sait endormie ensemble, tu as rêver de quoi Nii-sama? J’ai rêver de nous, moi…Ensemble…Toujours…
Il nous a fallut combien de temps avant d’être envoyer dans un nouvel Orphelinat? J’étais heureuse qu’on nous sépare pas, Nii-sama et Nee-sama reste toujours unis, toujours…Tu te souviens du camion? La sensation que c’était…L’odeur qu’il y régnait? Nii-sama, est-ce que je t’ai fais mal en serrant ta main pour ne pas te perdre? Le camion il était tellement plein, le bruit, les pleures, l’odeur, tu t’en souviens?

Le chemin avait été long, quelque arrêt, plus nous avançons…Moins nous nous retrouvions…Où est-ce que notre route s’arrêterait? Où est-ce que notre destin nous emmènerait…Dis moi Nii-sama, est-ce qu’avons nous fait pour mérité ce cauchemar là?
Pourtant, quand on est sortit, les gens qui nous accueillit, ils souriaient? Non? Je me souviens plus, c’est si lointain, c’est tâcher de sang dans ma mémoire. Quand on est arriver, on a quand même bien rigoler, Nii-sama.
Tu t’appelle comment? Disaient-ils tout le temps, Nii-sama, Nee-sama, c’est comme ça qu’on s’appelle, c’est ce que nous avions répondu…Tu t’en rappelle? C’était si drôle leur tête.

Oui, Nee-sama, on avait bien rit! La directrice de l'Orphelinat roumain avait l'air tellement désemparé lorsqu'elle nous a annoncé qu'on devait déménagé... Croyait-elle qu'on en serait attristés? On avait assez pleuré lorsqu'on avait entendu les bombes et les rires... Je crois... Je crois qu'on avait compris qu'on était maintenant vraiment Orphelins. Que cet homme était un peu le père de tout les enfants qu'il avait empêcher de tuer. N'avait-on pas justement entendu les autres pleuré dans le chambre aussi? Tu crois qu'ils avaient aussi compris, Nee-sama, ou il étaient juste terrifié par les bruit de la révolution?

Quand la dame est venu nous dire qu'on devait partir, n'étions-nous pas heureux? Plus de famille, plus de nation... On croyait pouvoir tout recommencer... Ailleurs... Mais pourquoi ce cauchemard pour y arriver, hein, Nee-sama? Tu t'en rappelle aussi, non? Le bruit et l'odeur... J'ai longtemps espéré que j'allais m'éveillé dans ma chambre ou dans tes bras, à ce moment... Mais je savait que je rêvais pas... Je sentais une douleur forte à ma main, une douleur réconfortante...
Dans ce camion obscur je me rappelle, qu'on n'a pas dit un mot, qu'on ne faisait qu'écouter le bruit infernal du moteur mélangé aux pleures des autres.

Je m'en souviens, Nee-sama... Tu t'en rappelle aussi? L'odeur d'huile et l'aspect visqueux du sol du camion... La route cabossé qui nous faisait rebondir... Je me souviens... On se taisait, on ne disait rien, nous... On ne pleurait pas nous... On ne faisait que rester l'un à côté de l'autre, sans se lacher la main... Nee-sama... Tu te rappelle? On ne dormait pas vraiment mais on n'était pas éveillé non plus... On souriait... Parce qu'on était ensemble... Hein, Nee-sama, toujours ensemble...

Moi, Nee-sama, j'ai arrêté de sourire quand j'ai vu les yeux des adultes... C'est leur sourire qui m'ont fait arrêter de sourire... T'as arrêté quand, toi, Nee-sama?
J'ai été soulagé quand on nous as désigné pour descendre... Parce qu'on nous a choisis tout les deux! J'étais heureux de ne pas avoir été séparé. Même si on devait souffrir ensemble, n'est-ce pas là l'amour véritable? Souffrir pour être ensemble, n'est-ce pas là notre destin? Nee-sama... J'ai suivi ces hommes parce que je voulait être avec toi... Nee-sama...
Mais on a rit, hein, Nee-sama... Tu te rappelle comment ils nous appelait, là-bas, dans cet Orphelinat étrangers? Je comprenait pas leur langue au début... Mais c'était de l'italien, non? Nee-sama, Nii-sama... Ils nous ont jamais appelé ainsi! Toujours par nos numéros de chambre.
Mais je n'aurais pas aimé qu'il t'appelle Nee-sama... Tu es Nee-sama que pour moi!

Mais, Nee-sama, tu les a trouvés méchants, toi? Les siciliens... Tu crois qu'ils sont tous ainsi? Tu crois que les humains sont tous comme ca? Dis, Nee-sama, tu te faisais aussi filmé quand ils te frappait? Je me demande pourquoi il filmait... Tu crois que les gens qui regardait les vidéos riaient autant qu'eux quand ils entendaient le bruit sec de leurs paumes sur nos fesses?

Dis, Nee-sama, tu crois qu'on doit leur dire "merci"?

Mon sourire, il sait arrêter quand je les ai vu apparaître, de mes yeux plissés par le soleil, je les avait à peine aperçut, et leur sourire, aussi hypocrite que l’ancienne directrice…Mais eux…C’était autre chose, leur sourire, ne méritait pas les nôtre…Nii-sama
Il nous on montré du doigt, d’abord moi, j’ai pas oser avancer, j’ai pas avancer…Je ne voulais pas, jamais je n’aurai avancer si tu ne m’accompagnais pas. Nous allions souffrir ensemble, nous allions construire notre amour ultime, tel les cannibale…C’est Edgar Allan Poe qui a dit ça? J’oublie toujours…Mais je n’oublierai jamais ce jour, on renaissait pour la deuxième fois, dans un nouveau monde, au beau milieu de la Sicile. Ensemble, nous allions avoir mal pour mieux s’unir, devenir…Immortel…
On a été obliger d’apprendre l’italien si on voulait comprendre quelque chose, c’était certainement la chose la plus facile qu’on ai eu à vivre ensemble dans cette orphelinat. Malgré tout, on trouvait la force de sourire, de rire des noms qu’ils nous avait donner. "11! 12! Nettoyez les escaliers!" C’était drôle…
Ainsi, Nii-sama restait mon Nii-sama et Nee-sama restait Nee-sama pour Nii-sama…

Les siciliens, ils sont encore plus bizarre que les gens de Carpates. Je crois bien que c’est humain…D’être bizarre…Ils étaient méchant, ils étaient ignobles, j’avais si peur la nuit où ils m’ont retirer de tes bras. C’était ma première nuit sans toi, ma première nuit à comprendre la vie. Seule. Enfermer entre les quatre murs gris, sa sentait le sang, cette odeur était si forte, je distinguais dans le noir un petit point rouge, je reconnaissais la silhouette d’une caméra. D’autre enfant était là, tous pleurait, certain se demandait, comme moi, ce qui se passait.

Nii-sama, qu’est-ce qu’on a fait au bon dieu pour mériter ça?

J’ai eu si mal cette nuit, ils m’ont frapper, ils les ont frapper, je venais d’apprendre seule ce qu’était la douleur et la souffrance, j’en ai tellement pleurer, et pourquoi ils filmaient? Pour vendre, vendre ses vidéos, il y avait des gens qui s’excitait devant disaient-ils, qu’on devait les aider à se…Sentir bien…Disaient-ils…
Ils tapaient si fort que le lendemain, du sang se trouvait dans mes urines…

Mais Nii-sama, sans ça, on aurait jamais appris…L’odeur du sang…On aurait jamais appris quand nous sommes aller ensemble entre ses quatre murs gris, sans ça, nous aurions jamais remarqué…Que…Lorsque nous nous trouvions devants ses enfants et que nous donnions nous mêmes des coups de battes à l’un deux…Les adultes…Riaient tous…Sans ça…Nii-sama, tu n’aurais pas ris…Avec moi…
Tant que nous rirons de tous ça, tant qu’on s’amuse, tout se passera bien…Hein…Nii-sama?

Si la terre continue de tourner parce que quelqu’un est tué…
Alors, c’est pour cette raison que nous sommes au monde…
Tuer…Etre tuer…Et tuer encore…
Le monde est un cercle vicieux…Nii-sama…

Il faut leur dire merci…

On a vécu ainsi combien de temps? Je me souviens qu’on a commencer à tuer à ce moment là et ça semblait pas déranger les directeurs de l’orphelinat…Les corps, ils devenaient quoi? Tu crois qu’ils ont quelqu’un qui pense à eux? Moi je sais bien que tu pense à moi et moi je pense à toi…On est immortel ainsi…
Quand nous étions à l’orphelinat, nous ne voyons rien d’autre que ses murs gris…Est-ce que tu pensais vraiment qu’on verrait autre chose? Tu sais, moi, si je te voyais toi, tout allait bien.
Au bout de plusieurs semaines passer là-bas, de plusieurs mois, on recommençait à bien rire, à bien s’amuser, on était bien ensemble, et toi Nii-sama? Tu étais bien? Est-ce que tu t’amusais là-bas? Les moments que je préférais étaient ses instants où nous étions filmer, même si j’avais froid, ils nous avait dévêtue…Non?

L’odeur du sang, je m’en souviens, et même le goût…Tu le décrirais comment le goût?

Est-ce qu’on nous a réveiller le jour où l’homme est arrivé? Où est-ce qu’on était déjà réveiller? Je me souviens qu’on avait échanger de vêtements, oui, mes longs cheveux, on les avaient couper ensemble…Hein, Nii-sama…On voulait notre amour parfait, notre union ultime…Ainsi, tu resterais toujours près de moi, éternellement, tu étais face à moi et en moi…C’est ça, l’amour? Nii-sama?
On a rigoler ce jour là, quand il m’ont amenée la perruque "On vous reconnaîtra plus facilement" avaient-ils dit…
Le jour où l’homme est venu, tu étais moi et j’étais toi…

Je crois, Nee-sama, que si le bon Dieu nous a fait passer par tout ca, c'est parce qu'il nous aime bien... Tu ne crois pas, Nee-sama? Après tout, on était les seuls à s'amuser en Sicile... C'est grâce au bon Dieu, ca, non? Il nous a mis là où on pouvait apprendre comment s'amuser malgré tout. Je crois qu'on a du être très gentils pour mériter ca...
Je me rappelle aussi ma première fois devant le Point Rouge! J'avais très peur. C'était ma première fois sans toi, Nee-sama... Mes premiers instants, sans ta main. Mais je m'en suis sorti parce que je savais que j'étais toujours là avec toi. Et que tu étais toujours là avec moi.
Je me souviens qu'on pleurait tous dans cette salle pièce. Je me souviens que j'ai pleuré jusqu'à ce que je soit appelé à mon tour. Là, je me suis assis sur le monsieur et j'ai sourit. Il m'a dit après qu'il fallait faire en sorte que les gens qui allait avoir la cassette allait se sentir bien si je me laissais faire... Alors, j'ai rien fait... Nii-sama, tu as eu mal quand je recevais les fessée?
Moi, je me rappelle avoir eu très mal quand je t'attendais dans ta chambre... Je venais de te couper les cheveux avec les ciseaux de bricolage. Tu me les avait couper aussi... pour que ca soit mal fait aussi. On avait rit, avant qu'ils viennent te chercher.
J'avais mal, tu sais, Nee-sama... Je sentais les coup, je te regardais dans le miroir de la chambre. Tu grimacais chaque fois, mais tu ne pleurait pas... Et moi, je pleurait pour toi... Alors que tu était dans la pièce dégoutante du sous-sol avec d'autres enfants, on se regardait dans les yeux dans ta chambre... Et tu m'avais dit, Nee-sama, "Tu es en bas avec moi aussi, Nii-sama..." Je m'en souviens si bien..

Heureusement, on a vite appris comment s'amuser, hein, Nee-sama? Quand les Monsieurs laissaient une batte ou, parfois, une planche de bois cloutée, c'était toujours pour nous. Ils commencaient à savoir. Et nous, on riaient bien, hein... Les enfants, ils méritaient tous que leur souffrances s'arrête. Eux, ils ne s'amusaient pas... Eux, ils voulaient partir, Nee-sama. Tu sais, ce qu'on a fait est bien... Le bon Dieu nous remerciera certainement encore, Nee-sama, parce qu'on a fait sentir bien les Monsieur Inconnus, on a fait rire les Méchants Monsieur et on a libéré les Garçons Tristes...
On nous dira merci, Nee-sama, et on le leur rendra... Parce qu'on est heureux de donner notre bonheur aux autres. Ils ne connaissent pas l'amour ultime, comme nous... Alors il faut les libérer.

Mais je sais ce que tu veux savoir, Nee-sama. Tu pense aux corps, hein? Nous, on trouve toujours quelque chose de joli à faire avec, quand on a le temps... Mais eux, ils ne faisaient rien, ils les entérraient, je crois. Mais, Nee-sama, c'est pas le plus important, tu sais... Ils étaient libres, Nee-sama...
Une fois morts, ils riaient et ne demandaient pas à ce que l'on pense à eux. Toi et moi, toi et moi, on pense à l'autre, on pense à soi... Nous pensons à nous, Nee-sama... Nous, nous ne devons pas mourir. Nous, nous ne mourrons pas... Nous avons libéré tant d'âme de leur détresse que nous avont gagné assez d'années pour vivre et tuer encore... Tuer, être tué et tuer encore...
Avec le temps, Nee-sama, j'ai compris que tu était toujours doublement avec moi... Tu étais en moi et à côté de moi, Nee-sama... Tu t'en souviens? On s'amusais à changer de vêtement, de voix... J'étais toi et tu étais moi... Et personne ne comprenait que c'était plus qu'un jeu... Je m'amusais avec toi, à ce jeu... Mais je préférais quand on sauvait les enfants en jouant...

Ah l'odeur du sang, tu l'aimes, hein, Nee-sama... Ce goût de rouille et de sel... Ce goût de fer acide... Moi aussi j'aime sentir ce liquide incomparable me couler sur le visage, à la place des larmes...

Nee-sama, toi aussi tu te rappelle de cette rencontre? Quand un homme est venu pour nous acheter. On avait reçu ta perruque depuis une semaine seulement et on s'était déjà amusé à se l'échanger plusieurs fois... Ce jour-là, j'étais déguisé en toi... Ce jour-là, j'étais toi... Et tu étais moi, amour ultime mis en application. Compréhension absolue de l'autre qui n'est que soi-même dans un autre corps.
Ce jour-là, on nous a réveillé pour un achat, on n'avait pas compris tout de suite. On s'est habillés. Tu m'as donné ta perruque et on a été voir le Nouveau Monsieur. Il disait nous avoir vu dans une vidéo. On savait enfin à quoi il ressemblait, hein, Nee-sama? Mais il n'avait pas l'argent, tu te rapelles? Il avait tué nos Gardes. On avait beaucoup rit en voyant le sang d'un adulte sur le sol.
Après on a couru avec lui parce qu'il était marrant... Il parlait drolement, hein, Nee-sama...
Il nous a emmené, tu te rappelle? Il faisait jour et on voyait l'autre côté du mur pour la première fois... Je crois avoir pensé aux autres enfants qu'on ne pourrait pas sauver. Mais j'ai aussi pensé aux autres humains tristes qu'on pouvait rencontré gràce au Nouveau Monsieur...
Dis, Nee-sama, tu te rappelle ce qu'il racontait en route? C'était drôle, non? Et il avait été plus inventif que les Siciliens pour nous nommé autrement que Nee-sama et Nii-sama. J'aime bien ces prénoms, toi aussi, Nee-sama? Je les trouve mignons... Mais pas aussi mignons que toi! Parce que tu es la plus belle, Nee-sama... Même le sang est moins beau...

Dis, Nee-sama, tu te rappelle encore tout ce qu'il nous avait expliquer? Moi, j'ai beaucoup oublier... Je pensais qu'à nous amuser... Mais il nous avait donné de beaux jouets, hein, Nee-sama?

Jamais je ne pourrai oublier l’instant où des mains nous avait légèrement secouer pour nous tiré de notre sommeil, la nuit avait été longue avant que l’homme arrive dans notre vie, cette nuit là, nous nous étions amusé, nous avions libéré d’autre enfant et amusé d’autre adulte. A force, c’était fatiguant parfois mais c’était tellement drôle. On apprenait un peu, on s’amusait, on riait, ça me manque parfois. Sa me manque de sentir une douce chaleur éclabousser mon visage, d’entendre les rires de l’adulte filmant, sentir tes mains sur moi après avoir achevé nos sauvetages. J’aimais beaucoup ces moments, cette salle, elle était devenue notre petit monde à nous…Combien de personne on rit en nous regardant? Combien on aimer observer ça?
Moi j’aimais être avec toi, j’aimais voir les corps trembler alors qu’il ne respirait plus…Le réflexe vertébrale…C’était trop drôle

C’était à cause de cette nuit là que nous avions dormit toute la journée, on nous avait tiré de nos rêves en nous disant qu’on allait être acheté. Est-ce qu’on est du bétail? Nous avons pris notre bain ensemble, je suis sortie et on sait blottit dans le même essuies pour se sécher. J’ai mis tes vêtements, tu as mis les miens, je portais ma perruque, et je te l’ai offerte ensuite…Aujourd’hui, tu serai moi et je serai toi, nous avons enfiler nos petites chaussures noirs et nous sommes descendu à la rencontre de l’homme qui souhaitait nous acheter.

En nous voyant, en le voyant, je me suis mise à sourire et lui aussi, tu souriais aussi Nii-sama…Il a demander à nous voir en privé pour apprendre un peu à nous connaître, où alors, c’était la procédure…
Ce jour là, c’est la première fois qu’on a goutter au sang des adultes Nii-sama, il est arrivé face au gérant présent ce jour là, il a sortit son semi-automatique et il a tiré une rafale. Je me souviens encore de la forme que les éclaboussure de son cerveau avait laisser sur le mur derrière lui. Nous avions ris à distinguer ces formes à la silhouette des animaux…Nii-sama, moi je voyais un oiseau…

Il nous a demander de courir, on la suivit, en riant, il riait avec nous, enfin…Quand il nous parlait, on comprenait rien et nous on riait pour ça, on riait pour la forme des éclaboussures, l’odeur du sang, le son de l’arme et le son de sa voix, quel langue c’était?
Tu sais Nii-sama, j’ai faillit m’arrêter quand on est arrivé à la frontière de la grille. J’allais voir ce qui se passait de l’autre côté, j’allais voir un autre paysage que le gris de ses murs salit. Nous avons pourtant franchit ensemble ce pas, si rapidement, en courant et en riant. On est rentré dans une voiture, les vitres étaient toute noir et il était à côté de nous.
Je me souviens de ce qu’il racontait en route mais je sais même pas ce que cela voulait dire, il nous parlait et ne comprenait pas qu’on ne parlait pas la même langue que lui. Il a fini par rire, j’aimais bien quand il riait et nous avons rit avec lui de longue minute. Il a fini par parler l’italien, il nous a demander nos prénoms et nos noms, et nous nous somme regarder en riant ensuite.

"Nee-sama"
"Nii-sama"

C’était ce qu’on disait tout le temps, je ne sais même plus où est-ce que nous avions entendu ses surnoms que nous avions toujours garder. Il a rit, nous a sourit et nous a baptisé à sa manière.
Avec le sang sur nos visage, il a dessiner une croix sur ton front et le mien et il nous a donner nos noms et prénoms, je les aimait bien, il te va si bien, mais je préfère Nii-sama pour toi…

Je me souviens pas de tous ce qu’il nous a apprit, la première chose, ce fut de parler comme lui, de le comprendre et de parler dans d’autre langue "des surdoués" répétait-il quand on apprenait. On s’amusait tellement, c’est plus simple d’apprendre quand on s’amuse? Non?
Il nous à apprit à lire, à compter, c’était très drôle, j’aimais beaucoup lire…Surtout que dans sa bibliothèque il avait de chouette de livre, avec de chouette image, il ne manquait plus que cette odeur familière du sang, son goût, sa chaleur, sa douceur…

Les jours passaient et on apprenait très vite, on riait en apprenait, c’était tellement drôle avec lui. Un jour, il nous a même emmené dans les caves et il nous a laisser choisir des armes! C’était la première fois que nous tenions de vrais armes en dehors des planches cloutés et des battes de base-ball de l’orphelinat sicilien. Je suis tombé amoureuse de cette grande mitraillette, je pensais quelle serait trop lourde mais en fait, elle était plutôt légère, a force de la portée.
Tu avais choisit cette hache et c’est là qu’il nous a apprit à les manier, à savoir s’en servir, et plus les minutes passaient, plus nous nous amusions, nous n’avions qu’une seule idée en tête…

Tuer…Encore tuer…

Un de nos plus beau souvenir, ce fut notre premier meurtre, c’était tellement amusant, Nii-sama? Tu t’en souviens mieux que moi, toi…
La première fois, ce fut la meilleure, même si on sait fait un peu gronder. On était censer être rapide, clair, net et précis…On sait amuser, nous, trop vite, c’est moins drôle…Je voulais appliquer ce que nous avions lu dans les drôles de livres de Monsieur. Oui, on connaît son prénom mais on arrive pas à le prononcer, on l’a toujours appeler Monsieur, c’était mieux, c’était plus drôle…
Monsieur nous avait donc donner notre première victime et c’était un adulte! c’était tellement marrant, hein Nii-sama qu’on a bien rit ce jour là?

J’étais moi, il était lui, j’avais préparé mon arme, il avait préparé la sienne, j’avais même mis un petit bonhomme porte-clés au bout de mon arme, c’était beaucoup plus joli ainsi, non?
Nous y étions aller à pied? Nii-sama?
Je crois que monsieur nous suivait…Ou alors il a débarqué parce que nous étions en retard…Tu crois qu’il a eu peur?

Oui, tu as raison, Nee-sama... On s'amusait bien. Je n'avait pas du tout l'imporession d'apprendre. Il paraît que les autres enfants, tu sais, ceux qui ont une famille et qui vivent avec leur parents... Et bien, il paraît que ces enfants n'aiment pas apprendre, nee-sama... C'est étrange, hein? Moi, je ne les comprends pas, c'est amusant d'apprendre. Et Monsieur nous a beaucoup appris hein... Il parlait le japonais, tu te souviens? C'est pour ca qu'on riait beaucoup... Et qu'on a compris d'où venait nos noms... Nii-sama et Nee-sama... pour "petite soeur" et "petit frère". Je ne sais toujours pas où on l'a entendu pour la première fois. Mais maintenant qu'on savait parlé le japonais, cela n'avait plus d'importance...

Mais tu te rappelle? C'est cette langue-là qui nous faisait rire dans la voiture... Mais il nous en appris beaucoup, hein? On caonnaissait seulement l'Italien et le Roumain... Avec lui, on a appris aussi le Francais, le Japonais et l'Anglais...
C'est vraiment dommage qu'on ait un si mauvais accent en anglais... Mais je trouve cette langue très mignonne quand c'est toi qui la parle, Nee-sama...

Je me rappelle aussi de ses livres, hein Nee-sama... On les aimait bien, hein! Surtout Edgar allan Poe... On aimait bien ce type...
Tu te rappelle son visage quand on lui a demandé des armes? Quand je pense qu'on ne demandait que des bouts de bois pour frapper; et lui nous a emmené dans le sous-sol de son clan pour nous laisser choisir. Tu crois que c'est une erreur? Enfin, c'est vrai que les autres du clan Synnefo l'ont un peu grondé. Mais qu'est-ce qu'il y a qui allait pas avec une mitraillette et une hache dans les mains d'enfants?...

Mais on nous a laissé s'amuser quand même, hein, Nee-sama... Tu t'en rappelle plus très bien, Nee-sama? On y avait été à pied... Avec nos armes cachés. J'avais mis ma hache sous ma veste et tu portais la mitraillette enroulé dans un petit tapis. Il y avait juste le poste-clef qui dépassais... Je trouvais ca bien plus joli...
Et Monsieur nous suivais... En voiture, en passant par les routes principale tandis que nous marchions dans les ruelles... Il a attendu dehors tandis qu'il entendait ta mitraillette dans la pièce.
Tu te rappelles? On était resté émerveillé par les images que créait le sang sur les murs. On avait l'habitude du sang d'une personne mais là, c'était des dizaine de sang différents qui s'étalaient... C'était beau, hein, Nee-sama...
Puis on avait joué avec notre "cible principale"... Tu te rappelle des gestes incontrôlés que fait un homme quand on leur plante des clous dans la tête? Ca nous a fait rire longtemps, ce jeu-là...

Mais Monsieur est arrivé et il a pris peur... Il nous a crié dessus, Nee-sama... Il avait pas le droit, on ne faisait que jouer... Il disait qu'on devait vite rentrer après le "travail"... Il était pas drôle là...
Je me rappelle de ce que tu lui as dit...
"Pourquoi ne pas venir jouez avec nous?"
Et j'ai renchérit...
"Oui... Amusons-nous, Oji-san..."
Tu te rappelle, Nee-sama? Comme son sang était rouge et liquide? Je ne m'étais jamais autant amusé qu'en jouant avec Monsieur ce jour-là... Parfois, je le regrette un peu... On aurait du le garder plus longtemps, non? Il est mort trop vite à mon goût... C'est dommage, il fut l'un de mes jouets préférés... Certainement parce qu'on le connaissait mieux...

Moi, ce que j'ai aussi aimé, c'était le visage tremblant des autres de son clan quand ils ont appris la mort de Monsieur. Il n'ont même pas osé récupéré leurs armes et nous ont laissés vivre chez eux... Ils sont gentils, hein, Nee-sama? C'est juste dommage qu'on ne puisse pas jouer avec eux... Pourquoi ils aiment pas nos jeux, Nee-sama? Pourquoi, eux, ils appellent ca "travailler"?

Nee-sama... On a beaucoup parlé, non? J'aime bien reparlé de notre histoire... Ca fait beaucoup, en treize années, hein, Nee-sama... On a beaucoup vécu...

Nee-sama... J'ai plus envie de parler... Donne moi la main, Nee-sama... Allons jouer dans les ruelles... Il fait sombre, on trouvera certainement quelqu'un pour jouer avec nous...
Tu es d'accord, Nee-sama? Donne moi ta perruque, s'il te plait... J'ai envie d'être toi, cette nuit...

Je t'aime, Nee-sama...

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record absolu de longueur de fiche !!
ouaah j'adore ! ça vallait le coup !
oui oui j'ai touuuut lu ! promis juré ! et c'était très agréable à lire !
ça m'intéresserait de savoir de quel manga/anime vous avez tiré cela ^^
mais assez palabré...
validés tous les deux, bien sûr !!
bon jeu !

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