Fidèle Au Poste

Comme chaque matin pendant la semaine Patricia se levait à cinq heures, certes elle n'aimait pas cela mais pour gagner sa vie il le fallait. La jeune femme se levait du lit et allait déjeuner, un petit repas sufisait un simple bol de céréales sans sucres et un ver d'eau glacé. Pat' finissais par s'habiller en son uniforme, il était noir avec une cravate blanche. La jeune femme devait obligatoirement attacher ses cheveux ce qu'elle faisait. Une fine queu de chevale tronait sur sa belle tête. Pour faire plus sérieux aussi la banque l'obligait à mettre des lunettes, de fines lunettes ovales. Bien que Patricia assurait qu'elle avait une vue splendide le gerant insista et lui fit faire des vers simples, comme des vitres quoi. Elle avait l'air d'une vrai femme d'affaire très sérieuse appart de cela.Ensuite Patricia prenait son ordinateur portable et son cellulaire, tout deux étaient très importants sans l'ordinateur elle ne pouvait gérer les transactions bancaires et sans le portable cette derniere ne pouvait prevenir le gérant des rendez vous à venir. Par la suite la jeune femme embarquait dans son automobile noir et se dirirgait vers son lieu de travail, elle devait y être presente à six heures pile. Le temps pour s'y rendre était environ une demi heure voire même une heure entiere si il y avait un bouchon sur l'autoroute d'Ataxia. Le patron était très severe et veillait au respect des règles, le boulot était bien payé mais Patricia le detestait. Franchement elle aurait voulu devenir actrice quoi...mais depuis le crash gouvernemental les universités de ce genre avaient étés fermés et les acteurs et les actrices renvoyés. C'était plus ou moins horrible ce qu'était devenu la vie dans le monde, désormais sous un nouveau nom. Après trente minutes Patricia arriva à la banque Mondiale, elle était belle à voir. Mur blanc et les portes ornés d'une peinture dorrée...Si seulement sa vie à elle était rose, ou aumoin dorrée.Un collegued e travail la savourait déja des yeux, il était plus loin entrain de envoyer de l'argent dans le compte d'un autre banque afin d'assurer l'envoie des nouvelles cartes de crédits. Le moral de Patricia était décidement vraiment tombé à zéro, elle était là planté devant osn ordinateur à tapper les touches vivement. Elle devait verrouiller les nouveaux comptes bancaires pour que l'accès à ceux-ci soit innaccesible pour les ingenieur les plus compétants. Il y a déja eu pas mal de tentative de vol au banque mais tous ont été arretés assez facilement, le système de sécurité était nettement supperieur à l'intelligence des voleurs. Il croyaient s'en sortir trop facilement! ha! Quelle idée...En tout cas une phrase venait en tête de Patricia ''Dure la vie d'Actionnaire!'', et elle l'était en effet, si un vol se passait sur un compte qui était à un client dont Patricia avait verrouillée le compte elleen était resoponsable. Bien sur c'est un exemple mais c'est ca qui arriverait sinon! La porte de la banque s'ouvrit pour aumoins la centième fois ce matin et un nouvel individu rentra dans l'établissement, Patricia ne distinguait pas encore si c'était un homme ou une femme, de toute manière elle s'en fichait carré.

Niam franchit la porete de la banque, mal à l'aise au milieu de tout ces gens bien habillés. Elle avait l'impression de s'etre infiltrée au mileu du quartie schya sans arme. Car oui, pour une fois elle avait du laisser toutes ses armes chez elle. Elle savait que si on la surprenait avec son pistolet en quartier "neutre" elle risquait une amende. Et elle avait toujoures eu du mal avec les forces de l'ordre.

Elle s'avanca vers le premier bureau venu et attendit poliment qu'on daigne lui accorder un peu d'attention. Elle serra dans sa main le papier avec marqué le numéro du coffre. Elle venait récupérer les dernières affaires qui trainaient dans le coffre de son défunt père. Pas par besoin, non, mais juste pour ne plus avoir affaire avec la banque. Elle avait déja eu l'impression de se faire pigeonner quand on lui avait parlé de la taxe fixée sur l'héritage alors ce n'était pas pour ensuite avoir à payer des hypothétiques frais. De toute façon la paperasse n'avait jamais été le point fort de Niam et c'est tout juste si elle conservait les objectifs de mission.